En prélude de la première édition du carnaval Ivoiro-Antillais du 01 et 02 Mars 2019 à Blockhauss dans la commune de Cocody, le Dr Raymonde Goudou COFFIE, Ministre de la Modernisation de l’Administration et de l’Innovation du Service Public, a reçu en audience la délégation antillaise ce Jeudi 28 février 2019 au Cabinet du Ministère. La rencontre s’inscrit dans la préparation du Carnaval Ivoiro-Antillais qui s’ouvrira ce vendredi à 14 heure.
La délégation conduite par Monsieur RAVOTEUR, président de la Coopération Ivoiro-Antillaise était Composée d’une dizaine de personnes dont le député de la Martinique, Monsieur Jean Philippe NILOR.
Cette rencontre riche d’ambiance et conviviale a été l’occasion pour la Ministre, elle-même présidente d’honneur de la coopération antillaise de Guadeloupe, de souhaiter le traditionnel Akwaba à la délégation. Elle a invité ses hôtes à visiter certaines villes de la Côte d’Ivoire notamment, Grand-Bassam, ville inscrite au patrimoine culturel de l’UNESCO et qui lui rappelle la Martinique par ses maisons coloniales et ses plages balnéaires.
Jean Philippe NILOR, Député de Martinique a exprimé sa gratitude à Madame la Ministre pour l’accueil fraternel dont lui et sa délégation font l’objet depuis leur arrivé en terre d’Éburnie. Il a précisé que le choix de la Côte d’Ivoire est très symbolique car permettant un retour aux sources pour certains d’entre eux qui viennent pour la première fois en Afrique. Selon lui, ce voyage permettra un échange culturel tant au niveau de l’éducation qu’au niveau économique.
Le président de la coopération Ivoiro-Antillaise Monsieur RAVOTEUR, s’est dit très heureux de l’implication du Dr Raymonde Goudou COFFIE, Ministre de la Modernisation dans l’organisation de ce carnaval.
Plusieurs rencontres sont prévues avant le départ de la délégation le 05 Mars prochain en Martinique, une île des Caraïbes faisant partie des petites Antilles. Région d'outre-mer de la France surnommée « l’île aux fleurs ». La Martinique est La première colonie française établie en 1635 par Pierre Belain d'Esnambuc.